Du 14 au 18 octobre, les jeunes Maisonnais des écoles maternelles et élémentaires ont eu l’occasion de participer à un tour de France des saveurs, dans le cadre de la Semaine du Goût. Cet événement national vise à faire découvrir aux enfants des aliments qu’ils n’ont pas l’habitude de consommer. Cette année, l’équipe de la restauration municipale est allée à la recherche de spécialités françaises, entre spaetzles alsaciens, far breton et axoa basque…
Des repas adaptés, variés et de qualité
La Ville porte une attention particulière à l’alimentation des jeunes Maisonnais, proposant tous les midis des repas préparés par l’équipe de la restauration municipale le jour même, soit plus de 3 800 repas. Des repas de qualité, préparés sur place, qui restent néanmoins en cohérence avec le budget des familles, car proposés à des tarifs qui préservent leur pouvoir d’achat. En effet, la Ville a fait le choix d’un repas à 2,65 € au maximum pour les maternelles et 3,35 € pour les écoles élémentaires. Dans le prolongement de cette ambition, au printemps dernier, la Ville a opéré des changements dans les assiettes de vos enfants, ce afin d’augmenter la part de produits durables et issus de l’agriculture biologique, de s’adapter aux besoins nutritionnels réels des enfants et de réduire le gaspillage alimentaire. Ainsi, depuis plusieurs mois, deux à trois fois par semaine, un menu à base de 4 composantes (un plat, une garniture, un produit laitier et une entrée ou un dessert) est proposé, contre 5 le reste de la semaine. D’autre part, un à deux menus 100 % végétariens de plus sont servis chaque mois.
Toujours plus de produits de qualité
« Ces changements répondaient à divers besoins constatés, notamment réduire le gaspillage alimentaire et augmenter la part de produits durables et biologiques, explique Stéphanie Levron, responsable de la restauration municipale. Nous procéderons au cours du 1er trimestre 2025 à de nouvelles campagnes de pesées des déchets alimentaires pour mesurer les effets de ces changements. » La part des produits de qualité (label rouge, biologique, bleu blanc cœur, haute valeur environnementale, pêche durable…) augmente régulièrement pour se rapprocher des objectifs de la loi Egalim de 50% de produits durables dont 20% de produits issus de l’agriculture biologique.
